
WELCOME TO Chris Angel's World
A Propos de ...
J'ai écrit mes premiers poèmes quand j'étais en première L, ça n'a duré qu'un temps. Haha...j'étais amoureuse en ce temps là, c'est surement ce qui a developpé mon talent. Mais à l'inverse de beaucoup, je n'écrivais pas sur l'amour. Je ne suis pas contre mais ce n'est pas mon style, ou alors, il faut que je sois très amoureuse!!!
Maintenant, je n'en écris plus ou très rarement parce l'inspiration qui était présente en moi a disparue. Je ne faisais aucun brouillon, j'écrivais, c'est tout et le résultat était merveilleux.
Je vous laisse en juger par vous même. Encore une fois, les poèmes sont disposés à la suite.
une fleur de fevrier
Alors qu'une boule de feu annonce l'aurore
Dans l'air pur du matin, une jolie fleur vient d'éclore
L'on reste en extase devant ce merveilleux paysage.
Avec la fraîcheur qui semble tomber des cieux
Avec le parfum du vent harmonieux
La fleur, lentement s'épanouit.
Ecoutez les oiseaux chanter dans les forêts
Ils se réfugient à l'ombre des cyprès
Où vont se percher dans les grands chênes.
La fleur se sent libre, comblée
Et reste rêveuse d'être parfumée
Un matin de quinze février.
Ma plume glisse sur le papier sans un bruit
Et je vois dans mon esprit
Une âme candide et naturelle.
Rose, déesse ou chimère éternelle
La fleur délicate et fidèle
S'égare dans une rêverie éphémère.
Chris Angel
le printemps
Dans un vaste pré où la rosée encore,
Perle sur les fleurs, les boutons d'or
On savoure déjà dans la fraîcheur éclose,
Le délicat arôme de la rose.
Les oiseaux bavardent et font leurs nids,
Tandis que le Vent et les rivières entonnent leurs mélodies,
Et que le Soleil pose son regard sur le massif verdoyant,
Le transformant lentement en un tapis des plus plaisant.
Le papillon sort de sa chrysalide et prend son premier vol,
C'est un spectacle à la fois merveilleux et curieux,
D'autant plus qu'un concerto de murmures captivants,
S'élève dans les aires délicatement.
C'est cela le printemps avec la Nature,
Fleurs, oiseaux, rivières, soleil et rosée en sont sa parure,
Avril et mai se sont éveillés
Vers la chaude saison d'Eté.
Chris Angel
le destrier blanc
Il longe la mer près du rivage,
Sa venue est signe de présage,
Beau destrier d'où renaît l'espoir,
Il me tarde déjà de te revoir.
Dans la clarté lunaire de ce jour finissant
Je te revois beau blanc, si fascinant.
Ta crinière d'argent, virevoltant,
Dans le zéphyr, prophétique du printemps,
Beau destrier surgissant de la cime des cieux,
Je ne saurais me tromper, tu es bien un dieu.
Sous la voûte aux myriades d'étoiles dorées,
Je t'observe et fais de toi mon couronné.
Destrier blanc, elève ton chant au rang des Sylphides
Toi, force glorieuse et herculéenne, toi, l'âme candide
Qui longe la mer à la démarche rassérénée
Ne crains pas de nous montrer ta célérité,
En galopant aussi vite que le vent
Du matin florissant au coucher de soleil hypnotisant.
Chris Angel
illusion
Il m'arrive de contempler le crépuscule,
Ce merveilleux décor, sous la lueur de la lune,
Jeté négligemment dans le ciel étoilé,
Par un grand magicien au nom prédestiné.
Séduite pas des songes magiques et charmeurs,
Je rêve d'un monde meilleur.
J'entends des joyeux et charmants ramages ,
Qui me séduisent en s'échappant des feuillages,
Ils m'apaisaient, ces gracieux chants harmonieux,
Avec la fraîcheur qui semble tomber des cieux.
Mais soudain, le songe s'efface,
Et la sombre réalité prend place.
Ma belle campagne déploie alors, ses tapis mordorés,
Couvert de fleurs aux couleurs multiples qui brillent,
Tel un vaste massif aux étoiles qui scintillent.
Chris Angel
adage
Toi qui lis mon poème,
Ouvre les yeux sur le monde,
Et vois ce que je sème.
Quelques lettres et quelques mots,
Que j'ai écrit à la volé,
Et qui retombent comme la pluie sur l'eau.
Si l'unité amène à la fragilité,
Sache que l'union fait la force,
Retiens cet adage et tu seras premier.
Quand à moi, avisée que je suis,
Je retourne à mes pensées,
Dans l'élan de mon esprit.
Chris Angel
causes et effets
Une famille désunie,
Ressemble à un château de cartes détruits,
Si une carte s'avère introuvable,
Le château demeurera irréparable.
Un soleil sans son jour,
Pourrait mourir d'amour,
Comme la lune sans sa nuit,
Ses étoiles, ses planètes, ses galaxies.
Pluie sans nuages,
Est comme mers sans rivages,
Fumée sans feu,
Est comme religion sans dieux.
Tous ces mots pour vous dire,
Qu'il n'y a pas de causes sans effets,
Et aussi pour dire,
Qu'effet sans cause n'existera jamais !
Chris Angel
divagation
Suis-je l'unique maître de mes pensées, de mes discours ?
Où ne suis-je que le vulgaire pion de ces méditations qui court ?
Là dans ma tête, dans mon cerveau et qui toujours,
Font la course, m'ordonnent et auxquels j'obéis.
Suis-je celle qui dis Je ?
Suis-je celle que je crois être ?
Tant de pensées m'obsèdent.
Tant de pensées me hantent.
Suis-je une autre ?
Si je dis Je, c'est que je suis là !
C'est que je suis à l'intérieur de mon corps.
Et quand je rêve, je ne suis plus là,
Mais dans un ailleurs au dehors.
En somme, je peux dire Je,
C'est qu'alors j'existe.
Et je peux dire moi,
C'est qu'alors je suis là.
Tout de même, être là et perdue dans ces divagations....
Chris Angel
trois lettres
Un jour, peut-être,
Une fois, un jour,
Peut-être, mais pas toujours,
J'ai vu partir en mon être,
Un semblant de joie.
C'est qu'il y avait de la joie avant
Qui hélas n'est plus maintenant !
Parfois, une fois,
Souvent et même déjà,
Je surprends une larme qui roule,
Qui court sur mes joues,
Qui roule et qui mouille ma peau.
J'ai mal ! Oui, j'ai Mal !
Dans mon cœur comme dans ma de tête
J'ai mal, mal, mal, trois lettres.
Un nombre un peu bête
Mais quand même trois lettres
Qui me font mal des pieds à la tête.
Chris Angel
l'infirmiere
Comme une maman à l'âme attendrie,
Tu veilles sur ce monde à la souffrance infinie.
Guidée par ton cœur noble et généreux,
Tu prodigues au chevet de tous ces malheureux,
En signe de ta grande et profonde tendresse,
Une parole, un mot ou une caresse…
Alors que tu te penches sur les lits blancs,
Où reposent de tendres enfants,
Ton sourire fait épanouir ces doux visages,
Comme le soleil, les jolies fleurs sous les ombrages.
Toi qui a toutes les qualités,
Dont les jours de travail sont loin d'être écourtés,
Tu mènes une vie enrichie par l'exemple.
Toujours dévouée à la cause des patients,
Au moindre appel, tu t'y rends en peu de temps.
Ta direction estime ton courage,
Et l'amabilité envers tout ton entourage.
Les jours s'écoulent et le devoir s'accompli,
Satisfaite du bien rependu sans ennui,
En gardant ton moral sans ménager ta peine,
Soucieuse de suivre la voie de la bonté même.
Chris Angel
Mes poems sont pour....
"Une fleur de février" est dédié à mon amie C@roline Chrysal.
"Le destrier blanc" à la déesse Paulina.
"Illusion" était pour N.S.
"Causes et Effets" et "Divagations" ont été écrit en révisant les examens blancs de philosophie d'où leur étrangeté !
"L'infirmière" pour Tita.
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